Fiche validée
Nom : Fukaya
Prénom : Naoki
Surnom : Nao ou autre à vous de voir
Âge : 17 ans
Taille : 1m66
Origine : Français/Japonais (mère française et père japonais)
Rang : Maiko du clan Suwa
Type : ambi
Préférence : Ce que j’aime ? Pas grand-chose… J’aime être seul, loin de tous les autres individus de ce monde. Mais ce que j’aime par-dessus tout, c’est le sang, j’aime souffrir et j’aime faire souffrir. Que ce soit une souffrance physique ou psychologique les deux me plaisent.
Désintérêt : Je n’aime pas parler pour ne rien dire. En fait, je n’aime pas parler tout court. Je n’aime pas non plus être autour de trop de gens. Ce que je déteste aussi, c’est que l’on me dise que je suis mignon. C’est un mot tabou à rayer du vocabulaire lorsque l’on est avec moi.
Particularités : /
Description physique : Mon apparence est très trompeuse. La plupart des gens disent que je ressemble à un ange. Ces gens là sont bien aveugle… J’ai des cheveux blond-gris qui m’arrivent au bas de la nuque. Ils sont fins et soyeux. Ils ont une odeur de pêche, odeur due à mon shampoing. Mes yeux contrastent fort avec ma peau pâle. Ils font souvent penser à la mer de par leur couleur et leur éclat. J’ai aussi de longs cils me rendant un peu efféminé. Ma peau est pale mais pas pour autant livide. Elle est aussi lisse et douce au toucher. Je ne suis pas très grand de taille mais je suis mince et fait attention à ce que je mange. De toute façon je n’aime pas beaucoup manger alors…
Description psychologique : Pour ce qui est de ma psychologie, c’est totalement le contraire de mon physique. J'ai autant l’air pur et innocent que je suis tordu et sadique. Même si la plupart du temps j’ai l’air calme c’est uniquement du au fait que je n’aime pas parler. J’ai un caractère assez imprévisible en fait, tantôt je me laisse faire, tantôt je me rebelle. Comme je l’ai dit tout à l’heure je suis un sadique, ainsi j’aime faire souffrir les autres. Mais j’aime aussi me faire souffrir moi-même, pour moi la douleur est quelque chose d’exquis. Je suis aussi quelqu’un de manipulateur.
Biographie : Je suis né dans le froid. Parce que c’était l’automne, mais également à cause de l’ambiance familiale. J’avais déjà une sœur et un frère qui m’avaient précédé. Mais les préférences de ma mère allaient sans aucun doute à ma sœur, Maria. En réalité, elle la chérissait plus que tout, alors que mon père, mon frère et moi n’étions que des parasites à ses yeux. J’ai toujours ignoré où elle avait été cherché cette haine envers les hommes. Cette haine qui nous détruisait. En effet, elle n’hésitait pas à nous insulter et nous frapper tous les trois, sans relâche et sans compassion. Jour après jour, nous endurions ses mots. Nous supportions ses coups qui nous faisaient saigner. Même mon père ne pouvait rien faire. Car il l’aimait tant qu’il n’avait pas le courage de la blesser.
Ce fut une nuit funeste où mon grand frère s’écroula sous mes yeux de jeune garçon. Il avait été la personne que j’aimais le plus au monde, et ne pouvant garder en moi ma colère je me dressai contre ma mère et finit par la tuer. Je m’étais emparé du couteau de cuisine et l’avait poignardé dans le ventre. Je me rappelle encore de son regard si surpris et choqué, son petit Naoki si obéissant se dressait fièrement devant elle, le regard haineux. Elle avait perdu l’équilibre et était tombé à terre. Encore tremblant de rage je me penchai sur elle et abattis mon poing sur son visage, j’enchainai les coups sentant avec ravissement les os de sa mâchoire craquer. Ses cris étaient tels une douce mélodie à mes oreilles. Son regard surpris et suppliant était magnifique. C’est là que je me rendis compte à quel point elle était belle. Je l’attrapai par les cheveux et lui retirai violemment le couteau de son ventre. Elle était couverte de sang, un tableau tellement magnifique, je décidai de l’achever. Sans aucune pitié j’amenai le couteau près de sa gorge, je le senti se raidir. Doucement je vins poser un baiser sur son front et lui tranchai la tête. Je relâchai le couteau, essoufflé et admirant mon œuvre. Je me dirigeai vers la salle de bain afin de me laver du sang qui me recouvrait. Revenant dans la cuisine, je fus pris d’une nausée, le corps de ma mère gisait au sol, l’odeur du sang était dans toute la maison. Réalisant ce que j’avais fait, je m’enfuis et courut sans relâche. Il me fallait trouver un toit, c’est ainsi que je décidai de devenir geisha…