Nom : Mizushima
Prénom : Yukio
Surnom : Yuki ?
Âge : 17 ans
Taille : 1 mètre 63
Origine : Japonaise
Rang : Maiko du clan Soma
Type : Ambivalent. Mais est encore inexpérimenté dans le domaine, donc ne le sait pas...
Préférence : Ce que j'aime ? Le silence, la nuit, l'orage et les tempêtes. J'aime être seul, pouvoir penser tranquillement. J'aime également dessiner ce que je vois, les gens, les objets, les paysages, ... Mais je déteste que quelqu'un regarde ce que je suis en train de faire. Cela me fait perdre tous mes moyens. Une autre chose qui me plait est, lorsque personne ne risque de m'entendre, me laisser aller à chanter. Oh, je ne suis probablement pas très doué, mais j'aime ça. Et... Oh... faut-il vraiment en parler ? ... Je suis très gourmand, j'adore manger... C'est une très mauvaise chose...
Désintérêt : Il y a beaucoup de choses que je n'aime pas. Pour être plus précis, beaucoup de gens que je n'aime pas... Chez tout le monde, je parviens à trouver des défauts excécrables et des raisons de ne pas leur parler. Tous les gens, ou presque, me semble inintéressants et agaçants. Je déts-este que l'on vienne me déranger pour une raison qui n'en vaut pas la peine ou, comme je l'ai dit déjà dit, que l'on me regarde dessiner ou écoute chanter. Je considère toutes ces choses comme une intrusion dans mon espace vital qui, il faut le dire, est très grand...
Description physique : Je suis assez petit et, avec tout ce que je mange, je ne suis pas vraiment mince. Mais attention, je ne suis pas gros non plus, je ne me le pardonnerais pas. Non, j'ai quelques rondeurs, mais elles me donnent un adorable air de poupée. Ma peau est très pâle, ce qui accentue encore le côté porcelaine. J'ai les cheveux coupés à la hauteur des oreilles, noir avec d'étrange reflets bleus à la lumière. Mes yeux aussi sont d'un joli bleu pierre précieuse, grand et brillants. D'une allure générale, j'ai l'air d'une petite créature adorable comme un animal en peluche, cependant, il est rare que je sourie. Mais mes traits sont fins et doux, fragiles et délicats. Je porte normalement un kimono bleu, long et soyeux, trop long pour moi en fait... Cela doit être dû à ma petite taille... Ou alors au fait qu'il appartenait à mon grand frère... Enfin, peu importe. Le problème avec les peaux claires comme la mienne, c’est qu'elles rougissent facilement, et avec mes joues, qui se colorent de rose en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, ce n’est pas génial… Alors, je ne souris presque jamais, et mon regard est plus d’un bleu glacé que d’un bleu chaleureux, il faut le dire. C’est pourquoi en temps normal, les gens ne m’approchent pas trop. Car personne ne tient à parler à quelqu’un qui ne sourit pas, n’est-ce pas ?
Par contre, il m’arrive, lorsque j’ai besoin, ou plutôt envie de quelque chose, de me mettre à sourire tout à coup, de faire les yeux doux. Et jusqu’ici, les adultes ont toujours foncé en plein dans le panneau. Paf ! On cède, on me donne tout, et puis je me remets en mode « tête de zombie ». Oui, je suis un profiteur, et alors ? Je dois avoir au fond un regard assez ensorcelant…
Description psychologique : Je ne suis pas vraiment antipathique vous savez, peut-être juste un peu associable. C’est vrai, je n’aime pas vraiment parler, surtout lorsque c’est pour dire des choses inintéressantes à des gens inintéressants, comme c’est souvent le cas. Par contre, on ne peut pas dire que je n’écoute pas. Je suis toujours attentif, et je me souviendrai sans problème de tout ce qui a été dit. Les gens ont cette fâcheuse tendance à rapidement oublier mon existence. Ce n’est aucunement mon cas ! J’ai une mémoire d’éléphant !
Alors, pour en revenir au sujet principal, oui, je ne parle pas beaucoup. Pourquoi ? C’est ça la grande question. Commençons par dire que je suis assez timide. Oui, c’est vrai, j’ai assez peur du jugement et du regard des autres, alors souvent je me tais. Je sais que ce n’est pas bien, qu’il faut s’affirmer et tout mais… C’est trop difficile pour quelqu’un comme moi…
Alors une autre raison à cette asociabilité, c’est tout simplement que je n’apprécie pas beaucoup de gens. Je ne fréquente personne parce que je n’aime personne. Enfin, peut-être est-ce parce que je n’ai jamais essayé… Mais ce n’est pas important. Toutes les personnes que j’ai rencontrées étaient profondément énervantes, ennuyeuses et insupportables ! Comment peut-on me reprocher de ne pas faire d’efforts ?!
Disons que je suis assez lunatique : je passe souvent d’un caractère à l’autre, sans tout de même devenir très joyeux. Je fais dans le mélancolique, le solitaire, mais aussi dans l’égoïste et le profiteur. Parce que faire les yeux doux, ça marche toujours… Les gens sont crédules parfois… J'ai aussi une tendance à être très, mais vraiment très jaloux...
Mais je pense parfois, qu’avec quelques efforts, je pourrais être un peu plus gentil et généreux. Parce qu’au fond, je suis aussi fragile que du cristal. Au moindre choc, je me brise… Au fond, peut-être est-ce aussi une raison pour moi de me taire…
Biographie : Je suis né au printemps. Mes parents n'étaient pas pauvres, nous avions de quoi vivre agréablement, nous étions une famille heureuse. J'avais un grand frère, du style balèze, avec de larges épaules et un visage carré. Il faisait évidemment la fierté de mes parents. Il était une source d'honneur :"Mon fils ceci... Oh, et moi mon fils cela..." Les mères avaient toujours aimé vanter leurs enfants forts et sportifs. Moi, je suivis, frêle et plus féminin, doux et silencieux. Alors, ce n'est pas que l'on m'a moins aimé, mais c'est toujours mieux :"Mon fils a encore fait un bon score au cent mètres !" que "Mon fils a encore ignoré quelqu'un venant lui parler !" Quoi ? Oui, j'ignore les gens depuis toujours... Et alors ? La plupart du temps, ça ne m'amuse pas de répondre... Déjà quand j'étais petit... Combien de fois des filles sont-elles venues me voir ? Lassées des bellâtres musclés et beaux gosses, elles ont fini par apprécier la finesse et l'élégance. Vous ai-je parlé de mon narcissisme ? Et elles sont venues me parler. Oh, nous étions encore petit : "Tu veux qu'on soit ami ?" Leurs yeux brillaient, elles souriaient, rougissant, parce que peu de gens venait me voir. Alors elles avaient peur d'une décepeption. Et moi, je les regardait d'un air neutre, sans bouger, jusqu'à ce qu'elles partent en sanglottant. Mais aujourd'hui, je me dis que faire pleurer les petites filles est une choses effroyable, preuve que j'ai tout de même évolué.
Mais un jour, la famille perdit beaucoup d'argent et s'endetta. Il fallu donc gagner notre vie et mon père trouve que m'envoyer dans une okiya serait intéressant financièrement. Je fus d'abord effrayé, mais finit par accepter cela. j décidai que, s'il fallait travailler, au moins, je le ferais convenablement.
