Camping en Forêt ! o/

Kenzen ne travaillait pas aujourd'hui, il avait pris en quelque sorte un jour de congé. Alors après une courte nuit, oui très courte, les jeunes de nos jours ne savaient plus profiter du temps qui s'écoulait. Une fois réveiller il s'habilla rapidement et s'en alla comme si de rien était, il avait encore économiser un repas et une nuit. Il s'en alla se promener dans les rues, une envie de nature le prit alors il s'arrêta dans plusieurs boutique et se prit tout le matériel dont il avait besoin pour se faire une journée camping, non, un week end camping. Un coup de fil à l'hôpital, un petit arrangement et le voilà parti. Il prit sa moto, objet qu'il n'utilisait que rarement préférant habituellement marcher, il avait plus de chance de rencontrer quelqu'un en marchant qu'en roulant à moto. Après plusieurs heures il arriva enfin dans les bois, il arrêta sa moto dans un coin assez calme et descendit.


La vue était magnifique d'ici, il y avait des arbres, des arbres et oh, non pas possible, encore des arbres. De haut et verdoyant morceaux de bois parsemant le sol, ainsi que des plantes, tiens de sorties si c'est pas génial, c'est un peu le paradis du sado masochiste la forêt. Bien, ah tiens un petit ruisseau et un peu plus loin, quel chance une source chaude avec sa cascade intégrer. Il était tombé sur un excellent emplacement pour un week end, en fait il ne lui manquait plus que de la compagnie et tout serait parfait. Il commença à monter sa tente, une tente assez imposante mais tout de même étroite, elle était tout en longueru rien en largeur. Il ramassa du bois pour faire un feu tout en sifflotant, avec un peu de chance sa première visite serra celle d'un essaim d'abeille ou de moustiques. Dans le pire des cas un ours qui passait lui tiendra compagnie, il rit à cette idée ce serait amusant.


Il prit sa canne à pêche et s'installa au bord de l'eau, il remonta son pantalon son torse brillant sous les rayons du soleil. Sa chemise blanche ouverte laissant voir brillait à son cou une sorte de médaillon. Il était d'une incroyable bonne humeur et rien n'aurait pu lui enlever son sourire, en réalité même lorsqu'il était énervé il continuait à sourire mais de façon moins "joyeuse". Puis vint alors un poisson il tira sur la canne, le poisson sortie de l'eau, puis il retira l'ameçon qu était en réalité un verre fraichement déterré. Puis mit le poisson quié tait d'une bonne taille dans un...aquarium ??? Hmm.... c'était la première fois qu'il faisait du camping, alors nous ne lui en voudrons pas pour une erreur aussi infime, n'est-ce pas? Il passa le reste de sa journée assis face au ruisseau canne à pêche en main. Son "aquarium" déjà bien rempli, on y voyait des petits poissions y nager tranquillement.

Encore une journée qui se termine comme une autre. Celle-ci étant bien épuisante. Il me tardait d’arriver chez moi pour me détendre dans le jacuzzi et profiter de ce moment de détente. Je regardais l’heure, encore trois heures. Que c’était long. Quand tout à coup le téléphone sonna. Notre agence avait eu la permission de promouvoir le parfum « sous la mer ». je pouvais oublier ma soirée détente qui allait se transformer en un week end affreux.
Il faut savoir que mon directeur artistique avait eu l’agréable idée de présenter le nouveau thème du parfum dans une foret !!!! Pourquoi pas à la mer ? C’était bien plus logique. Pendant l’espace d’un moment j’allais être transformé de plus en poisson. La petite sirène au masculin. Je me passais la main sur la figure.
Mon agence ne recrutait aucunes femmes, les directeurs souhaitaient présenter un produit, un parfum nommé « Sous la mer ». Pour cela ils avaient eu l’agréable idée de me faire porter le costume du poisson. On me donna le costume tout en m’aidant à l’enfiler. C’est qu’il était lourd ! On avait mit en bataille mes cheveux. Une fois près, les collègues de travail riaient. Sachant très bien que je ne pouvais me tenir, ils m’avaient allongé sur le coquillage qui servait de décor.
Je grognais, j’enrageais, mais au fond de moi cela me plaisait aussi. Le seul problème était que je ne pouvais pas bouger. Le costume pesait lourd.

Les séances photos commencèrent. Mon équipe n’avait pas fait attention au bruit qu’elle allait provoquer. De ce fait déranger les pécheurs. Nous n’étions pas loin de l’un d’eux avec un drôle de tante en longueur bien étroite. Tout à coup un ours surgissait de nulle par se ruant vers moi en tenue de poisson. Impossible de bouger !! Je me protégeais le visage de mes mains. Mais qu’on me pousse de là non d’une pipe. Ma dernière heure est arrivée. Je vais être écrasé par un ours dans un costume de poisson. Quelle ironie !!!!