Bienvenue. Au pays des morts. [Hikaru]

Fichtre. Il se sentait mieux parmi les morts que les vivants.

Encore une journée ennuyeuse pour Darness. Il avait fini son entrainement quotidien et aucun travail à l'horizon; Et même s'il aurait du travail, il avait tendance à vite l'expédier. Vite fais, bien fais comme dirait l'autre. Du coup, il n'avait pas grand chose à faire. Les tâches ménagères à la rigueur. Il passait de temps en temps dans des bars, mais n'y restais pas longtemps car il n'aimait pas du tout les gens qu'il y avait de temps. Quoique il n'aimait pas les gens tout court. Du coup, il traînait un peu dans les rues, mais c'était pareil, il y avait pleins de gens, qui s'insultaient, s'engueulaient, se bagarraient; Ou bien des violeurs, des psychopathes, des schizophrènes... Bref, tout ceci lui donnait fort mal au crâne. Alors, il restait chez lui, planté devant la télé comme Zombifié par des images sans queue ni tête, et finalement finissais par s'endormir pour ensuite se réveiller à 2h du mat', en profitait pour prendre son diner et son petit déjeuner en même temps; Ce qui n'est pas du tout un train de vie ordinaire. Puis repartait dehors, à cet heure-là, il avait beaucoup moins de monde pour lui attirer des ennuis ou le renvoyer dans son mal de crâne habituel. Il pouvait alors passer sa nuit à errer sans but précis dans toute la ville, ou s'installer sur un banc et contempler les étoiles pendant des heures.

Aujourd'hui, son long périple à travers la nuit, l'avait amené à un cimetiére. Trouvant l'herbe assez ferme pour lui servir de matelas, il s'était installé là puis assoupi. Il avait fais un merveilleux rêve où il faisait la fête avec des Zombies, il les avaient surnommé la bande des enfernal -Quoi de mieux pour une bande de Zombie? Mais quant il se réveilla, c'était déjà l'aprés-midi. Il avait loupé son entrainement quotidien et sa rencontre avec les zombies n'était qu'un rêve... Vie de m*rde... Finalement il décida de restait là jusqu'au soir et de repartir chez lui vers... Quant le soleil se coucherait car il n'avait pas l'heure sur lui. Il avait oublié son portable. Et tout ça en espérant qu'il retrouve son chemin et ça, ça n'était pas gagné....

Dans son rêve, il n'y avait rien de spécial. Il se promenait ça et là, allant partout et nulle part, comme dans un labyrinthe sans fin. Tout à coup, quelque chose d'étrange se produisit. Un bruit. L'aura de quelqu'un d'assoiffé de sang. Il regarda de tout les côtés sans voir personne. Puis l'odeur de sang. Non. ça ne pouvait pas être dans son rêve. C'était ailleurs. Quelque part à l'extérieur.

Il ouvrit doucement les yeux, comme sortant d'un profond sommeil de plusieurs années. Il passa sa main délicatement dans ces cheveux. Il avait mal à la tête. Avait l'impression de ne pas avoir dormis du tout alors qu'il avait passé la journée entière à dormir. Mais quelque chose ne tournait pas rond ici. Cette odeur de sang, ce qui l'avait réveillé de son sommeil, d'où provenait-elle? Il s'assit puis tourna la tête cherchant, quelqu'un, quelque chose, un cadavre peut-être. C'est ainsi qu'il tomba sur deux billes violette. Des yeux. Et malgré la nuit, il les voyait parfaitement. Comme sortant d'un rêve; Celui qu'il avait devant lui ressemblait à un chat. C'est ce qu'il pensait. Même si le sang autour de sa bouche aurait normalement fais plus pensé à un Vampire. Darness, le trouvait sublime. Il se leva, encore un peu endormi, d'ailleurs, il se demandait s'il n'était pas simplement encore en train de rêver, et s'approcha doucement de ce garçon aux cheveux violets et de sa victime. Il se mit à sa hauteur, le regardant droit dans les yeux. Il approcha sa main de son visage, et doucement, d'un doigt, il essuya le sang coulait de ses lèvres. Et le goûta. Beurk. Il n'était bon du tout. Il entait le vieux pervers à plein nez. Horrible. ça lui laissait un goût âcre dans la bouche.

Il se rassit dans l'herbe, restant devant lui, s'alluma une cigarette, prenant une bouffé de nicotine et regarda les étoiles puis dit doucement:
-"Ce n'est pas un très bel endroit pour un joli chaton..."
Il venait de se rappelais qu'il se trouvait dans un cimetière. Mais apparemment ne faisait aucun cas du fait que le jeune homme était en train de boire le sang d'un autre. Même mieux, ça l'attirait plus qu'autre chose.

Finalement, il s'était rendormi durant l’après-midi, il ne faisait vraiment pas preuve de sérieux. Il devrait d'ailleurs songer sérieusement à reprendre la route et aller dormir dans un vrai lit. Mais il ne pouvait pas. Car de magnifique yeux violet brillant dans la nuit venait de le captiver.

Il eut un petit mouvement de recul quant ce mignon petit chaton approcha, non pas parce qu'il avait peur de lui mais parce qu'il n'était pas habitué à ce que quelqu'un s'approche de lui. En général, les gens s'enfuyaient plutôt en courant. Courant très vite même. Et à vrai dire, il était complètement inoffensif devant l'attaque massif de cet être si adorable. Faut dire que, contrairement à ce que certain pourrait penser, il adorait tout ce qui était pelucheux et tout ce qui se rapprochait d'un "mignon petit chaton abandonnait", ce qui était apparemment le cas de celui qui se trouvait devant lui. Il regarda le jeune homme, continuant de fumer sa cigarette comme si de rien était alors qu'il avait envie de le prendre dans ces bras puis de le câliner, le chouchouter... Mais non, on ne saute pas sur les gens sous prétexte qu'ils sont mignons! Et puis quoi encore! Il ne devait pas se laisser aller, c'était un tueur à gage après tout.

-"Je ne vois pas comment je pourrais avoir peur de quelqu'un d'aussi mignon." Lui répondit-il gentiment, lui souriant chaleureusement (O_o comment ça chaleureusement!! Depuis quant il est chaleureux mon Darness!?), puis il se mit à caresser ses cheveux, qui, non seulement d'être magnifique était doux et soyeux. Intérieurement ça le faisait fondre. C'était sûr, il n'était plus dans un rêve, il ne faisait jamais de rêve aussi beau. Puis, continuant sur sa lancée, il lui dit:
-"Et puis, le seul monstre qu'il y a ici, mis à part les zombies, c'est moi et personne d'autre." Il regarda le ciel d'un air mélancolique, se disant que lui aussi avait dû vivre des moments difficiles. "Tu sais, les gens ne supportent pas que quelqu'un soit différent, mais tu ne dois pas y faire attention. ça ne voudra jamais dire que tu es un monstre pour autant."

C'est ce qu'il pensait. Les gens son comme ça. Si quelqu'un n'est pas assez "normaux" pour eux, alors ils le traiteront comme un monstre. Alors qu'un monstre ce n'était pas ça. Mais plutôt quelqu'un qui n'avait pas de coeur, et qui tuer sans la moindre hésitation. Comme lui.

Darness était attendris. Ça ne lui arrivait pas souvent, seulement quant il avait un mignon petit chaton à porter de mains qui lui faisait les yeux doux, comment résister?

Or, ce n’était pas un chaton mais un être humain, comme lui -même si parfois il avait des doutes sur le fait d’être un être humains-. Il venait enfin de le réaliser, sortant de son rêve éveillé du même coup. Quoique, il aurait dû s’en rendre compte plus tôt, on ne peut pas discuter avec une chaton dans la réalité, voyons! M’enfin, ça ne lui paraissait pas vraiment étrange puisqu’il parlait déjà à des peluches, alors il n’était pas vraiment à ça prêt. Mais il fallait qu’il se ressaisisse à tout prix. Mais à vrai dire…

C’était mal barré.

Quant Hikaru lui mordilla le doigt, farouche, un doux frisson le parcouru. Tellement adorable… Haa, pourquoi? Pourquoi fallait-il qu’il soit si mignon hein? Il ne pouvait pas juste être banal comme les autres mecs dans la rue? Là, il faisait juste fondre à vue d’œil le cœur de glace de Darness. Mais pas pour longtemps, celui-ci allait se reprendre en main! Peut-être… Avec un peu d’optimisme…

En vérité, dans la conscience de Darness se tramait un débat des plus intéressant! Une partie de lui voulait sauter sur Hikaru, l’autre lui disait de se contenir et de rester de marbre. Finalement c’était la 2éme partie qui avait gagné, une fois de plus.

À vrai dire, il n’écoutait pas vraiment le jeune homme à ce moment-là, son esprit était quelque peu déconnecté; Mais les mots lui parvinrent quant même au cerveau avec un voir 2 temps de retard. Il s’allongea dans l’herbe, les deux mains derrière la tête et ferma les yeux.

« On peut dire ça… Même si c’est un peu plus compliqué… »
Il soupira. Une vie comme ne lui déplaisait pas vraiment mais devenait lassante. À force il était devenu un solitaire endurcit qui ne pensait à rien d’autre que tuer et l’argent. Ce n’était pas comme ça qu’il avait imaginé devenir, en plus de ça il n’est pas très sociable alors il se retrouver seul. Seul avec ces désillusion et sa vie solitaire… C’était la joie.

« Faudrait quant même filer avant qu’il se réveil, non? » ajouta-t-il en désignant le pervers toujours dans les vaps. Puis il le regarda un peu intrigué, voir même inquiet « Tu as quelque part ou aller au moins? »
Il aimait bien recueillir les chatons abandonné, même si, une fois de plus, il n’en était pas un! Apparemment il avait déjà oublié. Mais bon, même s’il l’invitait à dormir chez lui, quels étaient les chances pour qu’il accepte? 5% en étant très optimiste. Darness, lui, n’aurait jamais accepté de se suivre en tout cas! Avec la dégaine qu’il a et ces yeux de psychopathe fallait être fou, suicidaire ou au moins Maso pour le suivre.

D’un œil, Darness observait Hikaru, dont il ne savait pas le nom d’ailleurs. De toute évidence celui-ci se demandait s’il pouvait lui faire confiance ou pas. Si jamais il devenait menaçant qu’est-ce qu’il ferait? Il s’enfuirait ou lui sauterait dessus? Il ne valait mieux ne pas tester. Et puis, il devait quant bien savoir se défendre pour avoir mis un type chao comme ça. Mine de rien. Il le trouvait fascinant, derrière ces airs de chaton se trouvait sûrement un fauve qu’on ne pouvait dompter et c’était justement le genre de chose qui intéressait Darness habitué à ce que personne ne lui résiste. Il se releva doucement.

« Je crois que tu te méfie de moi, et tu as bien raison, rare sont les gens avec qui je me montre gentil. »

Et c’était vrai, il ne se montrait jamais gentil avec les gens d’habitude et se montrait plus méfiant envers eux qu’ils ne l’étaient envers lui. Mais étrangement, il se sentait proche de lui, pour une raison inconnue, d’un coté ça le dérangeait et d’un autre il se disait que c’était un mal pour un bien. Et il décida de faire un truc de fou…

« Mais si tu veux, il y a un lit de libre chez moi. »

Tout en lui proposant sa main pour se relever, lui souriant doucement. Whaou, incroyable, Darness qui invite quelqu’un chez lui, ça n’était pas arriver depuis des années, et en plus pour dormir. C’était tout à fais incroyable. Intérieurement, il n’en revenait pas lui-même. Et il souriait? C’est sûr, il allait neiger. Mais pour une raison qui lui échappait totalement, il en avait envie. Envie qu’il accepte. Sans doute avait-il trop dormi et maintenant il était trop de bonne humeur, qui sait? Ce qu’il savait en tout cas, c’était qu’il n’avait pas peur de lui et qu’il avait envie de passer un peu plus de temps avec.

« Et si ça peut te rassurer, je ne te sauterais pas dessus. »

C’était vrai aussi. Même s’il ne nierait pas être attiré par lui, mais il ne sautait pas sur tout ce qui l’attirait… Sauf si c’était une de ces peluches, mais là c’était une toute autre histoire. Et puis il ne faisait pas parti des pervers qui sautaient sur n’importe quoi. Il ne couchait qu’avec les gens qui ont des vrais sentiments pour lui et que cela était réciproque, c’est tout.

Pourquoi? Comment en était-il arrivé là déjà? Qui sait? Le destin, peut-être, sans doute, pourquoi pas... La seule chose qu’il se rappelait était qu’une fois qu’il eut posé ces yeux sur deux magnifique billes violette luisante au clair de lune, il ne voyait plus rien d’autre. Il se contentait d’observer les mouvements de l’autre, de lui répondre, d’avoir une conversation presque normale avec lui. Incroyable, depuis quant ne lui était-ce pas arrivé? Il lui semblait que ça faisait des siècles alors que ça faisait à peine quelques années. L’usure du temps avait peut-être eu raison de lui finalement. Non. Ce n’était pas ça. Le mec, si s’en était bien un, devant lui était juste beaucoup trop mignon, et à chaque fois qu’il essayait de se reprendre, il lui paraissait encore plus mignon. Tu parles d’une tuile!

Et puis… Et puis? Ha oui, à présent il lui avait proposé de venir dormir chez lui et celui-ci venait d’accepter. Bien!! Non, pas bien! Si, bien. Non non, pas bien. Ha, mince, encore cet esprit de contradiction! Son esprit était un peu embrouillé.

Il regarda l’autre qui… Qu’est-ce qu’il faisait d’ailleurs? À bien y regarder on aurait dis un sourire, un peu bizarre mais un sourire quant même! Darness, lui, souriait intérieurement, il était tombé sur quelque un de bien étrange et pour une raison qui lui échappe encore totalement, le mystère qui entourait Hikaru l’intriguait.

Il ne réagit pas vraiment quand Hikaru s’approcha de lui, mais tiqua quand celui déposa ces lèvres contre son cou. Pas qu’il soit effrayé ou quelque chose comme ça, ce n’était pas son genre, il n’était juste pas du tout habitué à ce genre de contact et préférait garder une certaine distance entre lui et les gens. Ainsi, dans un geste ferme et contrôlé, il repoussa Hikaru.

« C’est bien de me prévenir même si la menace n’a jamais marché sur moi, par contre c’est aussi valable pour toi, ça m’arrangerait qu’à l’avenir tu évites de me sauter dessus toi non plus. »

Tout ça sur un ton calme et mesuré. Ne trahissant aucune émotion comme à son habitude. Il fit quelques pas sur le coté puis observa les alentours, par où habitait-il déjà? Toujours tout droit.

« J’habite par-là. »

Indiqua-t-il en pointant son doigt droit devant lui. Mais tout à coup, il sentit une présence, quelque un n’allait pas tarder à entrer dans le cimetière et à ce moment-là, il vaudrait mieux qu’ils aient tout deux disparu.

« Dépêchons-nous de partir, il ne vaut mieux pas rester là. »

Il poussa doucement Hikaru dans le dos pour qu’il se mette à avancer, restant derrière au « cas où », car il ne fallait pas oublier qu’il avait lui-même pas mal d’ennemis à ces trousses, et que ce n’étaient pas des gigolos, eux. Alors il valait mieux se méfier, qui sait ce qu’il pourrait arriver s’ils le trouvaient en compagnie d’Hikaru? Il le prendrait sûrement aussi en chasse, et il ne voulait pas ça…

Darness le repoussa. Doucement mais fermement. Sans se démonter. Hikaru ne montra rien. Même s’il sentait un peu surpris. En général les gens ressentaient du dégoût à son contact, et ne se gênaient pas pour le montrait. Ils sentaient quelque chose de dangereux. Comme s’ils avaient pris un serpent venimeux dans leur bras. Mais pas l’homme en face de lui. Il le considérait comme un « être humain ». Hikaru ne ressentait pas de la déception, ni même de satisfaction quand il comprit que cet homme ne le craignait en rien. Il s’était contenté de le prévenir, et c’était fait. Ni plus, ni moins. En même temps, sa réaction le rassurait. S’il paraissait aussi froid à l’idée qu’il
puisse le toucher, il ne devait pas avoir d’ennui ce soir.
avec Darness, il fallait filer d’ici et le plus vite était le mieux. Il hocha la tête pour lui faire signe qu’il avait compris. Un dernier coup d’œil à sa victime du soir, et il se décida. De sa démarche féline, il se mit à avancer rapidement. Il glissait plutôt qu’il ne marchait, tout en souplesse, sans hésitation, slalomant entre les tombes. Hikaru était dan son élément ici. Cela se percevait sans peine. Parmi les morts, il avait sa place. Au moins, ils ne risquaient pas de le rejeter. Il se coula le long du portail pour s’extirper du cimetière.
d’un bloc vers Darness.
- Marche devant maintenant.

Darness était sorti rapidement du cimetière passant au-dessus du mur qui l’entourait, suivant Hikaru du regard. Même dans ces déplacement on aurait dit un animal c’était vraiment impressionnant. Il le suivit, revenant peu à peu au vacarme de la ville en plaine nuit. Mais Darness préférait quant même la ville pendant la nuit que le jour. À un moment, Hikaru s’arrêta et lui ordonna de passer devant. Il haussa les épaules et passa devant. Il n’était pas du genre à faire des histoires, il se doutait bien que Hikaru le suivrait et si jamais quelqu’un de mal intentionné arrivait, il savait très bien se défendre, sans aucun doute. Et pour le moment, les poursuivants de Darness avait perdu sa trace ce qui l’arrangeait bien.

Mais tout à coup, il se mit à pleuvoir. Il ne détestait pas la pluie et ne tombait jamais malade mais qu’en était-il d’Hikaru? Celui-ci n’avait pas grand-chose sur le dos quand même. Darness enleva sa veste et l’installa sur la tête d’Hikaru, de toute façon elle serait bien trop grande pour lui alors autant qu’il s’en serve comme capuche, Darness se retrouvant en chemise.

« Comme ça, tu ne seras pas mouillé. » expliqua-t-il au passage.

Puis il reprit sa marche, arrivant devant son immeuble, il dû taper le code, puis pénétra à l’intérieur, gardant la porte ouverte pour que Hikaru puisse passer aussi. Il arriva ensuite dans l’ascenseur pour qu’il l’emmène au 6éme étage. Heureusement à cette heure-ci personne ne trainait dans les couloirs et donc aucune question désagréable. Oui, il emmenait un jeune homme adorable dans son appartement et alors? Il chercha sa clé au fond de sa poche et l’entra dans la serrure, ouvrit enfin la porte, laissant Hikaru passer devant lui.

« Après toi. »

Il attendit que Hikaru entre puis il entra à son tour, allumant la lumière au passage et ferma derrière eux. Se déchaussant rapidement dans l’entrée. Ce qui n’était pas obligatoire mais il aimait bien faire ça, du coup il salissait moins et n’avait pas besoin de faire le ménage tout les jours. Alla chercher rapidement une serviette pour ces cheveux mouillé puis revint.

« Je te sers quelque chose? À boire? À manger? »

Demanda-t-il simplement en se dirigeant vers la cuisine se prenant un coca dans le frigo. La cuisine était toute équipé, avec tout ce qu’il faut dans les placard et le frigo. Alors que le salon, qu’on peut voir dés qu’on arrive dans l’entrée, était simple. Une télé, un canapé, une table basse, une bibliothèque, et… non, vous ne rêvez pas, une magnifique Hache à double tranchant accroché au mur. Quant à l’état des lieux, c’était assez propre mis à part des vêtement qui trainaient ça et là, une chemise en-dessous du canapé, un jean derrière la télé et même un caleçon accroché au bout de la hache. Il valait sûrement pas savoir comment il était arrivé là.

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